Cérémonie de la canne à pommeau d’or
J’ai assisté jeudi le 9 janvier à l’événement du Port de Québec soulignant, pour la 190e année, la remise de la Canne à pommeau d’or au premier navire qui a accosté à Québec en 2025. Il s’agissait du «Castillo de Malpica», qui arrivait des États-Unis pour effectuer un chargement de boulettes de fer. 



Alors qu’il s’apprête à quitter ses fonctions, l’événement a aussi été l’occasion pour Mario Girard de présenter un bilan de ses 14 années comme président-directeur-général et de souligner les succès de l’équipe du Port, qui occupe une place considérable dans l’économie de la Capitale-Nationale et de tout le Québec. 

C’est une plaque tournante du commerce international avec 1000 navires par année, 28 millions de tonnes transbordées l’an dernier et 2 G$ de retombées économiques au pays. Ses 15 mètres de profondeur à marée basse lui confèrent un avantage comparatif pour le transport maritime de marchandise. 

Lors d’une récente rencontre, Mario Girard et la présidente du conseil d’administration Olga Farman m’ont brossé un tableau de la situation du transport de marchandises à l’échelle internationale et des grandes tendances qui se dessinent dans le secteur maritime. Je les remercie pour cette conversation qui m’a permis de mesurer les impacts potentiels pour le Port de Québec, la Capitale-Nationale et la stratégie maritime québécoise, et je souhaite bonne continuation à Mario Girard dans ses nouvelles fonctions.